Et si la solution était Groupeactive ?

9 juin 2022

Ces deux dernières années ont été sans précédent vis-à-vis du marché de l’emploi. Avec l’arrivée du COVID en 2020, l’économie a connu une période de flou et d’incertitude, qui a profondément rebattu les cartes, notamment dans le domaine de l’emploi cadre.
Après une année 2020 ponctuée de confinements, début 2021 s’est montrée particulièrement propice à l’emploi.

Comment l’ensemble des parties prenantes des entreprises ont-elles alors vu évoluer leur position ?

2021 a marqué le début de la relance économique. Les dirigeants d’entreprise, au point mort depuis 1 an ont enfin pu se projeter sur la reprise. Après une prise de conscience notable quant à leur nécessité de prévoir plutôt que de subir, il est temps pour les dirigeants de se focaliser sur les prochaines années, la reprise et de dessiner leurs projets sur du long terme.

En parallèle, si l’on se place du côté des cadres en poste ou demandeurs d’emploi, le bilan a été lourd également : activité partielle, télétravail, licenciement économique… Il a fallu réapprendre à vivre autrement et ça n’a pas été sans éveiller les consciences de certains. En effet, retrouver un équilibre vie pro/vie perso pour des cadres qui effectuaient 80h de travail par semaine fut une vraie bouffée d’oxygène.

2022, quant à elle sera l’année du renouveau : un bond technologique pour les entreprises et un besoin de changement pour les salariés.
Le constat est sans appel : Les dirigeants d’entreprise ont un réel besoin de recruter des talents, tandis que ces derniers sont de plus en plus exigeants sur les conditions d’embauche (selon l’Apec, 44% des salariés cadres attendent une hausse significative des salaires lorsque les entreprises elles, sont de plus en plus prudentes).

Néanmoins, les chiffres, toujours selon l’APEC, sont assez parlants : 13% des entreprises envisagent de recruter sur 2022. Cette tendance est portée principalement par les grands groupes à 67%, +12 points par rapport à 2021 alors que les intentions de recrutements sont plutôt stables dans les PME. Cette tendance s’explique principalement par la réticence des PME à s’engager sur des contrats CDI étant donné la conjoncture encore fragile.

Ces difficultés de recrutement sont encore plus notoires dans les métiers au cœur de la transformation des entreprises (IT et industrie)

On perçoit alors un grand décalage entre les profils recherchés et les candidatures reçues. En effet, les salariés cadres sont davantage dans une quête de sens dans leur vie professionnelle (attractivité des territoires plus que des métropoles) alors que les entreprises sont en recherche de talents expérimentés pour faire face à la reprise. Les PME quant à elles rencontrent une difficulté supplémentaire qui est le manque d’attractivité face aux grands groupes ; comment se positionner de manière attractive lorsque la feuille de route de l’entreprise n’est pas encore définie ? Comment augmenter l’attractivité d’un poste lorsque l’on ne connait pas ces métiers à forte valeur ajoutée ? Et pourtant, cet enjeu est d’une importance primordiale lorsque 45% des entreprises qui souhaitent recruter annoncent une baisse de leur chiffre d’affaires si leur projet n’aboutit pas à fin 2022 !

Plus que jamais les PME françaises ont besoin de se réorganiser pour ne pas subir la reprise économique ou bien une conjoncture encore fragile (notamment avec la guerre en Ukraine au second trimestre 2022). Ces mêmes PME anticipent déjà une surcharge de travail (à 84%), une dégradation du travail dû à un manque d’organisation (à 50%) ainsi qu’un retard de livraison pour 32% d’entre elles.

Aujourd’hui plus que jamais Groupeactive représente une réelle opportunité pour ces cadres en mal de reconnaissance, d’épanouissement personnel et professionnel, en proposant une alternative à l’emploi salarial. Devenir indépendant en accompagnant de manière opérationnelle des PME en manque de ressources et d’organisation, c’est participer à la relance du cœur économique français. C’est s’inscrire dans une démarche de développement économique local tout en conservant un équilibre de vie. C’est prétendre à un chiffre d’affaires jusqu’à 200K Euros / an tout en ayant une sécurisation de son activité.

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